Dans la peau d’un chercheur

 Qu’y a-t-il à l’intérieur d’un objet inaccessible ?

Au CERN, 10 000 physiciens mènent l’enquête. Ils poursuivent des recherches sur des particules élémentaires tellement infimes et fugaces qu’elles ne peuvent pas être étudiées directement. A quelques kilomètres de là, à l’Université de Genève, d’autres physiciens explorent eux aussi des phénomènes très mystérieux. Mais, comment font-ils ?

« Dans la peau d’un chercheur » propose aux enseignants et à leurs élèves de vivre ensemble une démarche d’investigation similaire à celle des physiciens. Chaque classe recevra des boîtes mystérieuses qu’il est impossible d’ouvrir. Les classes devront mettre en place une démarche d’investigation pour comprendre ce qu’il y a dans ces boites en procédant par hypothèses et expériences successives. Les 37 classes participantes seront mises en réseau afin de confronter leurs idées et leurs tâtonnements, poser des questions aux chercheurs sur un site web de travail.

Les classes iront ensuite à la rencontre des physiciens pour comparer leur démarche expérimentale avec celles mises en œuvre à l’Université de Genève ou au CERN. Le projet se terminera par une conférence de ces chercheurs en herbe, à la manière des scientifiques. Les élèves y présenteront leurs propres résultats.

Dans la peau d’un chercheur

 Qu’y a-t-il à l’intérieur d’un objet inaccessible ?

Au CERN, 10 000 physiciens mènent l’enquête. Ils poursuivent des recherches sur des particules élémentaires tellement infimes et fugaces qu’elles ne peuvent pas être étudiées directement. A quelques kilomètres de là, à l’Université de Genève, d’autres physiciens explorent eux aussi des phénomènes très mystérieux. Mais, comment font-ils ?

« Dans la peau d’un chercheur » propose aux enseignants et à leurs élèves de vivre ensemble une démarche d’investigation similaire à celle des physiciens. Chaque classe recevra des boîtes mystérieuses qu’il est impossible d’ouvrir. Les classes devront mettre en place une démarche d’investigation pour comprendre ce qu’il y a dans ces boites en procédant par hypothèses et expériences successives. Les 37 classes participantes seront mises en réseau afin de confronter leurs idées et leurs tâtonnements, poser des questions aux chercheurs sur un site web de travail.

Les classes iront ensuite à la rencontre des physiciens pour comparer leur démarche expérimentale avec celles mises en œuvre à l’Université de Genève ou au CERN. Le projet se terminera par une conférence de ces chercheurs en herbe, à la manière des scientifiques. Les élèves y présenteront leurs propres résultats.